Tour Eiffel en papier mâché.

Y'a des jours comme ça en été (et pourtant, tu sais que je déteste la chaleur) où il fait pas trop chaud, pas trop froid, les touristes pas chiants et pas si nombreux, les gens assis sur les pelouses à se rouler des patins comme en pleine crise d'adolescence, les gamins qui crient et qui pleurent, les coups de soleil sur le nez à avoir la tête en l'air, ces gens de trucs. Les péllicules, c'est comme les vyniles, on se souvient toujours de la journée, du moment et de l'état d'esprit. Le pourquoi du comment, en somme.










This entry was posted on jeudi 3 janvier 2013 and is filed under ,. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response.

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